mercredi 2 octobre 2013

2013-06-28 C-R Concertation Plus

Compte rendu de la rencontre du comité de pilotage Concertation +
Tenue le vendredi 28 juin 2013
 Au CLSC de Saint-Jean-Port-Joli


Présences :    Kathleen Thibodeau
                        Guy Drouin
                        Sonia Nadeau
                        Juliette Dupont
                        Micheline Pelletier
Chantal Caron
Guylaine Fortin
Hélène Boutin
Marie Josée Neault
Lise-Anne Levesque
Martin Fortier
Sylvie Madeleine Létourneau


1.    Mot de bienvenue
Lise-Anne souhaite la bienvenue à tous. Tel que convenu l’ordre du jour est remis séance tenante.
Les objectifs de la rencontre sont les suivants : faire un retour sur la journée du 31 mai, clarifier le mandat et la composition du comité de suivi et convenir des priorités d’action pour l’année à venir.


2.   Lecture du projet d’ordre du jour
Lise-Anne nous présente une proposition d’ordre du jour. L’ordre du jour est accepté tel que proposé sans ajout.


3.    Retour sur la rencontre bilan
Lise-Anne nous invite à faire part de nos impressions et commentaires en suivi à la rencontre du 31 mai 2013.
On souligne que le compte rendu reflète bien les propos de la journée.

Plusieurs points positifs ressortent de cette journée :
-  le vouloir et la volonté de la grande majorité des participants d’améliorer nos pratiques de concertations ;
-  la bonne volonté des représentants des tables à participer à la démanche Concertation + ;
-  l’atelier sur les valeurs a permis que l’on se sente déjà en action et servira aux tables pour la suite ;
-  d’être là ensemble a permis de constater que plusieurs intervenants travaillent déjà ensemble et ont le goût de s’investir dans le développement de leur milieu ;
- cela nous a permis de rencontrer les autres tables et de voir où chacune est rendue, qu’il y a des différences ;
-  l’ouverture à se réseauter entre tables ;
-  il y a un consensus sur l’idée de se rendre accessible aux clientèles que nous desservons et à la communauté ;
-  les participants trouvent important de poursuivre la démarche ;
-  on a apprécié la présence de M. Albert, directeur général du CSSSML ;
-  le travail en atelier de type brise-glace est un bon point à retenir.

Dans les points à améliorer pour la suite :
-    on aurait apprécié avoir les documents de travail avant la rencontre; dans ce  sens, il faudra prévoir une rencontre du comité de suivi avant la rencontre annuelle pour être en mesure de faire suivre la documentation ;
-  on aura à se questionner sur le choix de la journée, un peu plus difficile les vendredis, surtout s’il s’agit d’une journée entière.

Ensemble, on fait un bref retour sur le sommaire des évaluations et on relève quelques commentaires à tenir compte dans la préparation de la rencontre annuelle : la durée de la rencontre (une journée ?) et  la période de l’année en fonction des calendriers des assemblées générales sont, entre autres, des éléments à tenir compte.


4.    Suite à donner à la démarche
Lise-Anne souligne que Jean Tremblay est absent aujourd’hui mais qu’il reste en support pour la suite de la démarche. Par contre, son niveau d’implication n’est pas connu pour l’instant.
4.A   Comité de suivi
On convient de maintenir la même composition au comité de suivi que celle que nous avions adoptée au comité de pilotage. Pour la table RLS santé mentale, c’est Suzie Jean du Trait d’Union qui y siègera, le Groupe de Réflexion et d’Action contre la Pauvreté (GRAP) sera représenté par Micheline Pelletier de l’Aide aux travailleurs accidentés (ATA). Quant aux autres tables de concertation, cela reste à valider lors de leur prochaine rencontre et une approche sera faite à la table en violence conjugale.


Mandat du comité 
-    Prioriser et actualiser les actions ciblées dans le cadre de la phase 1 de la démarche Concertation + (plan d’action).
-    Assurer un échange régulier entre le comité de suivi et chacune des tables impliquées afin d’informer sur  l’avancement des travaux.

Le comité est non décisionnel

Préparation et déroulement des rencontres du comité
On rappelle qu’une des bonnes pratiques pour favoriser l’engagement est d’assurer un certain partage pour la préparation des réunions. L’ordre du jour sera préparé à la fin de chaque rencontre en prévision de la rencontre suivante et l’on se donnera un calendrier de rencontres. Un rappel pourra être fait 2 semaines avant les rencontres. Les rencontres pourront être animées par Lise-Anne mais il y aura un partage de l’animation en fonction des points à l’ordre du jour. À l’aide d’un canevas de base, il y aura partage au niveau du secrétariat.
4. B   Priorités à retenir 
À partir des priorités ressorties à la journée du 31 mai et souhaitant se doter d’un plan d’action réaliste, 4 priorités sont retenues :
-       Travailler à un canevas de base afin que chaque table se dote d’un cadre de référence adapté à sa réalité (mission, rôle, valeurs, processus d’accueil, règles de fonctionnement).
-       Se doter d’un plan de communication (dans un langage clair et voir à utiliser le portrait des concertations). La CDC (Corporation de développement communautaire) se propose d’être le porteur de cette action.
-       Poursuivre la réflexion sur l’utilisation que l’on peut faire du portrait des concertations.
-   Organiser la rencontre annuelle de la démarche Concertation + (en faire un évènement rassembleur, positif, avec possibilité d’un aspect de formation et surtout aller plus loin)
4.C   Indicateurs de réussite
Afin d’être en mesure d’évaluer la démarche, nous aurons à trouver des indicateurs de réussites. Ce sera à voir en septembre à partir de notre plan d’action.
4. D  Moyens 
Une proposition de plan de communication (canevas de base) sera préparée par Guy en collaboration avec Lise-Anne.
Pour la prochaine rencontre du comité de suivi, Lise-Anne nous fera parvenir des propositions de plan d’action et quelques exemples de canevas de base.
Il est proposé que Lise-Anne rencontre, en présence de ceux qui quitteront, les représentants des tables qui se joindront au comité de suivi pour faire un historique des étapes accomplies jusqu’à maintenant. Si des sous-comités se forment, on convient de prévoir du temps de travail en sous-groupe à même les rencontres du comité de suivi.


5.    Aspect communication
À partir du site de la CDC (Corporation de développement communautaire), Guy nous présente un exemple de page blogue. On convient que cela représente un outil de communication intéressant et accessible. Un financement sera nécessaire, mais la CDC est en démarche à ce niveau et le CSSSML est également prêt à contribuer. Pour une bonne utilisation du blogue, un petit guide pourrait être mis à la disposition des tables.


6.    Proposition pour les prochaines étapes
Lise-Anne dépose une proposition de calendrier illustrant les prochaines étapes, on y apporte quelques modifications. Voir document en annexe


7.    Évaluation
On est satisfait de la rencontre. On a apprécié la présentation de l’exemple d’une page blogue, c’est concret et nous met déjà en action.



Sylvie Madeleine Létourneau

Secrétaire pour la rencontre

2013-05-31 C-R Concertation Plus

Compte rendu de la rencontre bilan de la démarche Concertation +
Tenue le vendredi 31 mai 2013 à 9h00
 À la salle communautaire de Cap-Saint-Ignace


Présences :   Claude Doyon
                     Josée Chouinard (à compter de 11h00)
Mélanie Pinault
Marjorie Asselin
Marjorie Lamarre (CJE L’Islet)
Gino Albert
Isabel Proulx-Heinz
Nathalie Chatigny
Angèle Chouinard
Isabelle Bourgault
Juliette Dupont
Doris Beaumont
Marie-Ève Morin
Christiane Bourgault (Jardilec)
Fabienne Morin (à partir de 10h00)
Sophie Garant
Sonia Nadeau
Pierre Paré
Jean Tremblay
Martin Fortier
Lise-Anne Levesque
Éric Dufresne
Guyaline Fortin
Sylvie-Madeleine Létourneau
Chantal Caron
Michèle Bernier
Martine Bélanger
Cécile Dupont
Guy Drouin
Kathleen Thibodeau
Bernise Pellerin
Guylaine Hudon
Johanne Deschênes
Mélissa Bélanger
Hélène Boutin
Isabelle Fournier
Marie-Josée Neault
Suzie Jean
Guylaine Gourgues
Pierre Bernier
Céline Avoine (AM seulement)


1.    Mot de bienvenue
Monsieur Gino Albert, directeur général du CSSS Montmagny-L’Islet, souhaite la bienvenue à tous. Il souligne que la région Montmagny-L’Islet est une région qui a su se mettre en action pour porter un regard sur l’état de ses lieux de concertation. Cette rencontre bilan nous permettra de poursuivre notre travail et notre réflexion à ce niveau.


2.   Déroulement de la journée et rappel de la démarche
Lise-Anne Lévesque présente les objectifs de la journée ainsi que le déroulement de la rencontre.

On fait un bref rappel des actions réalisées jusqu’à maintenant par le comité de pilotage et par les tables de concertation qui ont participé à la démarche.

Jean Tremblay invite les membres du comité de pilotage à livrer leurs impressions et commentaires face à la démarche, tel que vécu jusqu’à maintenant.


On confirme qu’il est opportun et pertinent de faire le point sur l’état de nos concertations afin de « mieux travailler ensemble ». C’est important, voire essentiel, de s’harmoniser. Cela nous a menés à un questionnement sur notre style de gouvernance et à l’importance de définir davantage nos rôles et responsabilités comme membres de table de concertation. Malgré le fait que nous n’ayons pas eu assez de temps alloué au démarrage du projet pour recruter des membres représentant les tables au comité de pilotage, nous avons réussi à former un comité représentatif.
Les organismes communautaires ont essayé de représenter le mieux possible les organismes de leur table. C’est une démarche enrichissante, on a apprécié l’apport et le soutien reçu de Jean Tremblay et Lise-Anne Levesque. Les organismes communautaires à vocation régionale sont à même de constater que notre région, à travers la démarche Concertation +, a entrepris des actions positives pour l’amélioration de ses concertations. On a identifié des enjeux communs pour l’ensemble des tables, la réponse au sondage a été très significative, on constate le désir de faire mieux ensemble avec au cœur de notre réflexion le client, l’importance de nous définir, se donner un moment, on a des exemples de collaboration (ex. : le projet « Au-delà de la musique »), l’autopsie de notre table, la qualité, l’intérêt et la motivation au cours de la démarche était palpable.


3.    Atelier de réflexion sur nos valeurs
Lise-Anne donne la consigne pour le déroulement de l’atelier : à partir d’une liste de valeur qui leur est fournie, chaque équipe doit faire un consensus afin de retenir les deux ou trois valeurs identifiées comme étant essentielles pour vivre une bonne concertation.

Après cet exercice, et avant la pause, chaque table est invitée à présenter sa mission ainsi que les membres qui la composent. On nous convie également à présenter un bon coup réalisé grâce à  notre concertation.

Les exemples suivants sont apportés : le projet « Au-delà de la musique » (chorale), l’activité « Je nage pour la vie », les napperons d’Onésime, affiche aimantée (pour Frigo) « Bien vieillir chez soi », mise sur pied du projet « Ensemble, On D-Tox »,  Programme Accès-Loisirs, promotion du programme de régime enregistré pour personnes handicapées, etc.


Pause


4.    Poursuite de l’atelier de réflexion sur les valeurs
À tour de rôle, les membres des tables présentent les valeurs retenues au cours de l’exercice.
-        Table Prévention-promotion Famille-enfance-jeunesse - École en santé (divisée en deux tables de travail) : respect, intégrité, solidarité, pouvoir d’agir.
-        Table DI-DP-TED (déficience intellectuelle, déficience physique et trouble envahissant du développement) : respect, justice sociale, ouverture.
-        Table des aînés et des proches aidants : pouvoir d’agir, solidarité, égalité.
-        Table de concertation des aînés de la MRC de L’Islet : pouvoir d’agir, autonomie, respect.
-        Table RLS (réseau local de services) Santé mentale : respect, solidarité.
-        Table BEC (bien-être collectif, promotion-prévention) : pouvoir d’agir, intégrité, solidarité.

La solidarité, le respect ainsi que le pouvoir d’agir sont les trois valeurs les plus significatives pour l’ensemble des tables.


5.    Présentation du portrait des concertations
Lise-Anne dépose les documents, actuellement en document de travail, présentant le portrait des concertations du territoire de Montmagny-L’Islet.

Actuellement, le portrait présente des lieux de concertations où l’on retrouve au moins trois organisations d’impliquées. Il est toujours possible de faire le tri de ce portrait, soit pour en ajouter ou encore en retirer.

Le premier document présente un coup d’œil rapide sur l’ensemble des concertations, le deuxième tableau offre plus d’information, à savoir la mission/
objectifs et des organisations membres. Une colonne est disponible afin que l’on puisse faire le lien entre la mission de la table et l’un des  déterminants sociaux de la santé. Une autre colonne sera ajoutée afin de permettre l’ajout de l’information générale comme, par exemple, le nom de la personne répondante, est-ce une instance sectorielle ou inter-sectorielle (on doit d’ailleurs préciser ce qu’on entend ici).

Comme on souhaite rendre les documents accessibles, on identifie quelques  moyens de diffusion : le site de la CDC (Corporation de développement communautaire) et le site du CSSS Montmagny-L'Islet. On convient qu’il faille le déposer sur un site où nous avons la possibilité de le mettre à jour assez facilement. Dans ce sens, le site de la CDC est une bonne option. Ce sera au comité de pilotage de proposer un moyen en prévoyant les modalités de mise à jour. Nous aurons à poursuivre la réflexion sur l’utilisation que l’on peut faire de ces tableaux. En plus de permettre de se connaître davantage, cela peut nous donner l’information nécessaire, à savoir s’il y a dédoublement, on pourrait également l’utiliser dans nos liens avec la communauté, etc. Le comité de pilotage pourra aussi poursuivre la réflexion.
Si l’on souhaite soumettre des commentaires, ajouts, retraits sur les documents présentés, Lise-Anne nous invite à la contacter.

Jean nous propose une courte réflexion sur l’état de nos concertations. D’abord, qu’en est-il de nos concertations?

Comme communauté, si on veut être plus efficace, il est nécessaire de se concerter. Se concerter au niveau local permet une meilleure connaissance des enjeux, des réponses adaptées aux besoins et favorise la mobilisation des acteurs et la participation citoyenne. On se doit également de faire une réflexion sur l’efficacité de nos  concertations. Exemple : comme table, avons-nous des missions différentes ou complémentaires ? Avons-nous à développer davantage nos liens en partageant, par exemple, nos plans d’actions, à faire connaître notre existence et réalisations auprès des élus, à la communauté, etc. Serait-il possible d’avoir « une instance » (des exemples vécus en d’autres territoires sont cités) qui favorise les liens entre les tables, mais surtout qui se préoccupe d’enjeux transversaux. En fait, il faut réfléchir comme territoire au moyen que l’on souhaite se donner pour rendre nos concertations plus efficaces et collaborer davantage ensemble dans l’intérêt de la communauté.

Tel que vécu actuellement sur notre territoire, doit-on parler d’hyperconcertation ou de fatigue partenariale. À partir d’une liste de symptômes, Jean nous amène à réfléchir à cette question.

Le manque de ressources humaines et financières ou encore le choix qu’il faut faire parfois entre collaborer aux lieux de concertations ou être sur le terrain, soit des enjeux importants pour les organismes communautaires versus la concertation. Pour les organismes à vocation régionale, d’être présent sur l’ensemble du territoire et le temps que cela nécessite comportent d’autres enjeux. Mais en général, on convient qu’actuellement il n’y a pas de dédoublement en soi, mais c’est souvent le manque de ressources (temps, financière et humaine) qui contribuent à l’essoufflement. Il s’agit peut-être davantage de « fatigue partenariale » que d’hyperconcertation. La poursuite de la démarche Concertation + permettra à chaque table de répondre plus clairement à cette question au cours de l’année.

Cela nous ramène à l’efficacité de notre concertation et à réfléchir à un modèle de gouvernance (exemple : mettre à contribution le comité stratégique).  Un cadre de référence clarifiant divers aspects de la concertation sera aidant. Travailler moins en silo, soit par programme service, faire une gestion collective des enjeux communs, se donner une structure de gouvernance adaptée à notre réalité en s’inspirant de d’autres territoires sont des pistes à explorer par le comité de pilotage ou de suivi.


DÎNER


6.    Réflexion sur les éléments transversaux
À l’aide d’une grille de réflexion, le comité de pilotage s’est attardé aux enjeux communs aux différentes tables et a identifié des moyens qui pourraient être mis en place pour améliorer nos pratiques de  concertation (voir grille en annexe).

Pour chaque thème, Lise-Anne nous invite à ajouter nos commentaires ou idées d’action s’il y a lieu.


Relation entre partenaires
La complémentarité des concertations, l’absence de dédoublement : se référer aux documents « Portraits des concertations », poursuivre la réflexion sur l’hyperconcertation versus la fatigue partenariale, bien connaître la mission de chaque table, les organismes eux-mêmes peuvent faire des liens entre les tables lorsqu’ils y siègent, arrimer les calendriers de rencontres pour les répartir dans le temps.

La communication et la collaboration entre les concertations : faire une rencontre annuelle de toutes les tables pour faire un partage de nos plans d’actions et réalisations.

La reconnaissance de la contribution et de l’expertise de chaque organisation à la réalisation des actions : avoir un mandat clair de nos organisations, à savoir, je représente ou je suis décisionnel, prendre sa place comme organisation et laisser la place à l’autre. On cite particulièrement la place que le CSSSML peut prendre versus les organismes communautaires.

La définition et la compréhension des rôles, responsabilités et attentes des partenaires : on convient de la pertinence de se doter d’un cadre de référence. Ce cadre sera utilisé pour une compréhension commune de notre mission et de nos rôles, mais aussi lors des demandes de financement pour les organismes communautaires ou encore pour accueillir de nouveaux membres sur nos tables.


Structure de fonctionnement
La participation active des populations qui vivent la situation : on cite ce qu’est le cadre de partenariat et comment cela permet la participation d’un usager à la table RLS en santé mentale.

Le partage de l’animation des réunions entre différentes personnes : c’est à chaque table d’en convenir. Sans toutefois animer à tour de rôle, le partage de l’animation et de la préparation aux rencontres peut favoriser une meilleure participation.

Le roulement des membres versus l’avancement des projets : en plus du cadre de référence, un membre de la table, l’organisateur communautaire par exemple, pourrait faire un accueil personnalisé.
Le ralliement de tous les acteurs dont on a besoin pour faire avancer les actions : être souple pour permettre la participation ponctuelle de partenaires.


Les retombées de la concertation
Les obstacles à une participation de la population cible : à ce niveau, il faut penser à adapter notre langage très réseau. Peut-être que les groupes en Alpha pourraient être mis à contribution.

La reconnaissance de notre table dans la communauté : chacune des tables représente une force par le nombre de personnes qu’on représente et, à ce titre, on pourrait être plus visible dans la communauté. Il serait intéressant de faire un événement public.

La réalisation d’activités correspondant aux objectifs : s’assurer que les activités sont en lien avec les objectifs et la mission de la table. L’organisme a la responsabilité de s’assurer que sa mission est en lien avec la mission de la table sur laquelle il siège.

L’offre de possibilité d’apprentissage à la communauté : en se rendant plus visible et en diffusant des informations d’intérêt à la population, on contribue à augmenter les connaissances. Cela contribue au pouvoir d’agir, mais évidemment il y a plus à faire. 


En plénière, on identifie les priorités retenues pour chaque thème

Relation entre partenaires
-        Travailler à un canevas de base afin que chaque table se dote d’un cadre de référence adapté à sa réalité (rôle, mission, valeurs…).
-        Se réunir une fois par année pour travailler aux grands enjeux.
-        Maintenir un comité de suivi pour actualiser les actions ciblées.
-        Se servir du portrait des concertations.


Structure de fonctionnement
-        Utilisation du cadre de référence et se doter de plan d’action (pas nécessairement relié à du financement, mais plus aux forces des partenaires).
-        Utilisation de cas traceur pour les tables qui n’ont pas de représentants d’usager et prévoir des moyens pour favoriser leur participation.
-        Favoriser le partage du leadership.
-        Se doter d’un processus d’accueil pour les nouveaux membres.
-        Ralliement de tous les acteurs sur une problématique en particulier.


Les retombées de la concertation
-        Se doter d’un plan de communication versus nos clientèles et la population en général.
-        Adapter notre communication et notre langage.
-        Utiliser davantage le site de la CDC ou autre.


7.    Synthèse et suite
Comment on s’y prend pour poursuivre ?

On convient qu’un comité doit poursuivre le travail afin de mettre des priorités dans ce qu’on a dit aujourd’hui et proposer un plan d’action ou tout au moins des pistes d’actions. Il pourra également regarder des modèles de gouvernance que d’autres territoires se sont donnés pour améliorer leur concertation. La composition du comité de pilotage a été une formule gagnante et l’on propose de maintenir cette composition. Chaque table aura à identifier des représentants (organisateur communautaire, CSSS et représentant d’organisme communautaire). La plupart des tables présentes souhaitent en convenir lors de leur prochaine rencontre de travail; seule la table RLS identifie qui siègera au comité de suivi.

Ce comité a un mandat d’un an. Il n’est pas décisionnel et l’on devra s’assurer d’un échange régulier entre le comité et chacune des tables dans l’avancement des travaux. Il y aura une dernière rencontre du comité de pilotage 1 pour une rencontre bilan.


8.    Évaluation de la rencontre

Les gens sont satisfaits de la rencontre et on continue de croire à la démarche.

2013-05-17 C-R Concertation Plus

Compte rendu de la rencontre du comité de pilotage Concertation +
Tenue le vendredi 17 mai 2013 de 9h00 à 12h00
 À la salle Polyvalente du CLSC de Montmagny


Présences :   Bernise Pellerin, Arc-en-Ciel R.P.P.H. (Table DI-DP-TED)
Hélène Boutin, coord. des services en santé mentale et dépendance
Chantal Caron, coord. des services généraux et réadaptation CSSSML
Pierre Paré, coord. hébergement et Centre de jour St-Jean-Port-Joli
(Table des aînés et des proches-aidants)
Martin Fortier, o.c., CSSS Montmagny-L’Islet
      Guy Drouin, CDC ICI Montmagny-L’Islet
Marie-Josée Neault, coord. Famille-Enfance-Jeunesse, CSSS Montmagny-L’Islet
Kathleen Thibodeau, Maison des jeunes des Frontières du Sud (Table PP Famille-Enfance-Jeunesse - École en santé)
Sylvie-Madeleine Létourneau, o.c. CSSS Montmagny-L’Islet
Lise-Anne Levesque, o.c. CSSS Montmagny-L’Islet
Jean Tremblay, INSPQ

Absences motivées :
Annick Gosselin, L’Ancre (Table RLS Santé mentale)
Guylaine Fortin, directrice des services dans la communauté CSSSML
Claude Doyon, o.c. CSSS Montmagny-L’Islet
Juliette Dupont, Table des aînés de la MRC de L’Islet
Sonia Nadeau, Société Alzheimer Chaudière-Appalaches (Table des aînés et des proches aidants)


1.    Mot de bienvenue
Lise-Anne souhaite la bienvenue à tous. Elle fait la liste des absences motivées.


2.   Projet d’ordre du jour
Lise-Anne nous présente l’ordre du jour. Ajout au point 7 : invité du régional.


3.    Retour sur le compte rendu de la rencontre du 5 avril 2013
Le compte rendu est conforme à nos discussions.


4.    Réflexions sur les éléments transversaux à partir de la grille de réflexion sur les éléments transversaux des pratiques de concertation en Montmagny-L’Islet
À partir de la grille, on poursuit la réflexion sur les pratiques de concertation afin d’aller plus loin dans l’analyse et les moyens qui pourraient être mis en place.



La connaissance de toutes les concertations de notre territoire
Meilleures diffusions des lieux de concertation où nous sommes chacun, des projets associés et le bénéfice pour l’organisme. Utiliser le portrait existant, facilitant pour les demandes de subventions lorsque l’on demande de faire la liste des lieux de concertation où l’organisme est impliqué.

En faire la diffusion entre les tables.

Ajouter au portrait des catégories par thèmes ou clientèles.

Pour favoriser le lien entre les tables et faire un portrait de nos collaborations, deux moyens sont proposés. Soit une rencontre par année du  « comité de pilotage » pour faire les liens, identifier les enjeux communs et obstacles. On avance également la possibilité de faire une journée bilan réunissant l’ensemble des membres des tables (préparé par le comité de pilotage).


La complémentarité des concertations en l’absence de dédoublement
Pour certaines tables, il n’y a pas  vraiment de doublon actuellement, chaque table a ses particularités. Ça peut devenir un doublon s’il n’y a pas d’arrimage. La réflexion sur notre mission par table va nous aider justement à éviter qu’il y ait un doublon. Parfois, il y 2 instances (ex. : table des aînés), mais il faut faire consensus et sentir le besoin (enjeux) qui nous amène à unir nos tables. La Table Jeunesse et la Table RLS Santé mentale, par exemple, ont fait cette fusion. On pourrait tirer avantage de leur expérience. Comment assurer la complémentarité entre les tables versus d’autres problématiques associées.


La communication et la collaboration entre les concertations
Utiliser nos communications internes pour faire connaître les lieux de concertation où nous sommes présents (journal, site Internet).


La reconnaissance de la contribution et de l’expertise de chaque organisation à la réalisation des actions
Maintenir le respect vécu actuellement, s’impliquer activement, prendre sa place, partager ce qu’on fait, reconnaître l’importance de travailler ensemble pour le bien de la clientèle, sont autant de moyens qui aident à se connaître et se reconnaître. Un plan d’action clair aide à définir la contribution et l’expertise de chaque organisation.
 Il y a les leaders et des « spectateurs », chaque organisme doit s’investir avec un mandat clair de la part de son CA.
La responsabilité de la table est de se doter d’un plan d’action, définitions des rôles et attentes de participation. Il y a à faire consensus autour du cadre qu’on se donne.
La définition et la compréhension des rôles, des responsabilités et des attentes des partenaires
Il est important de faire cet exercice. Peut-être faire un outil commun, un canevas de base pour se doter d’un « cadre de référence » que chaque table pourra s’approprier. Sera également utile lorsqu’il y a des changements au niveau des représentants d’organismes ou des nouveaux membres.  Y inclure des portraits de la clientèle. Peut servir dans le lien avec le public ou la sollicitation financière.


La participation active des populations qui vivent les situations
On convient de l’importance que la clientèle soit bien représentée. Parfois, il est possible qu’elle y soit présente (exemple : le cadre de partenariat en santé mentale). Par contre, dans le cas où c’est plus difficile, on peut prévoir divers moyens : les cas traceurs, utilisation de sondage ou d’activités animées auprès de la clientèle concernée, utilisation de focus groupe. Pour soutenir la participation de la clientèle, il est souhaitable de mettre en place des moyens comme par exemple l’aide au transport.


Le partage de l’animation des réunions entre les partenaires
Ne pas avoir un seul porteur dans la préparation, dans le partage du leadership. Le comité de pilotage pourrait proposer une démarche dans ce sens. On pourrait penser à des activités de ressourcement sur le partage du leadership ou de l’animation. Le partage de l’animation ou dans la préparation force le passage d’observateur à participant plus actif.


Le roulement des membres vs l’avancement des projets
Chaque organisme a la responsabilité de bien informer leur CA et faire le lien avec la nouvelle personne qui représentera l’organisme. Le « cadre de référence » pourrait être un outil utilisé pour la nouvelle personne qui arrive ainsi que le plan d’action. 


Le ralliement de tous les acteurs dont on a besoin pour faire avancer les actions
C’est un exercice à faire par table; si c’est le cas, il est gagnant de faire un contact personnalisé auprès de l’organisme que l’on veut inviter à se joindre à nous. Avoir une flexibilité en envisageant une participation ponctuelle en lien avec une action précise. Il y a peut-être un rendez-vous à se donner avec les organismes régionaux et ceux ayant un territoire différent de celui de nos tables pour convenir de leur présence aux tables. Comment faire le lien, sans multiplier les représentations par tables, sur des enjeux communs pour plusieurs clientèles (ex. : santé mentale et vieillissement, pauvreté et famille…).


Les ressources financières essentielles pour réaliser les actions
Il est possible que les tables se dotent de plan d’action qui ne requiert pas de financement en mettant en commun nos ressources. Et nous avons à notre disposition certaines sources de financement qui peuvent aider (ex. : Fonds en partenariat).


Les obstacles à une participation de la population cible
On rappelle l’importance de soutenir leur participation (exemple du transport).


La reconnaissance de notre table dans la communauté
Parler de nos actions dans la communauté, des bons coups réalisés par notre organisme, mais soutenus par table, en utilisant les médias locaux et communautaires. Utiliser notre pouvoir comme groupe versus le politique (publiciser le 31 mai, inviter les médias). Profiter de certains évènements comme la semaine d’action communautaire pour se faire connaître, se positionner sur des enjeux sociaux, etc. On pourrait inclure dans notre plan d’action une stratégie de communication.


La réalisation d’activités correspondant aux objectifs
Évidemment, se doter d’un plan d’action.


L’offre de possibilité d’apprentissage à la communauté
Se rendre visible, se positionner ainsi que le plan de communication, tel que nommé plus haut y contribuera.


Le développement d’un sentiment d’appartenance au sein de la communauté
Le plan de communication va y contribuer.


5.    Poursuivre la réflexion sur les concertations dans Montmagny-L’Islet à l’aide du questionnaire
À partir des diapos sur les symptômes de l’hyper concertation, Jean nous invite à réfléchir à cette question. Oui, ça peut être un problème réel mais cela apporte tout de même du positif pour nos clientèles, chaque table ayant sa raison d’être. Il faut distinguer l’hyper concertation du problème de manque de ressources humaines des organismes pour participer aux lieux de concertations.  La réflexion sur notre mission par table et le cadre de référence pourra aider à clarifier certains aspects de la concertation. En fait, la démarche actuelle va nous aider. L’enjeu financier versus les ressources humaines nécessaires à participer aux concertations est aussi important dans cette réflexion.
Fatigue partenariale versus hyper concertation, encore là il faut faire la distinction. Est-ce que l’on se répète dans nos concertations et travaille-t-on trop en silo? Il y a peut-être une réflexion à faire dans ce sens.
Une structure au centre (comité, rencontre annuelle…) qui permettrait de faire le lien entre les tables, de faire une gestion collective des enjeux communs pourrait faire partie des réflexions à venir. On n’a pas à y répondre pour l’instant. La démarche Concertation +  nous permettra déjà d’être plus efficace et mettra en lumière le besoin ou non d’un lieu qui « chapeauterait » les tables dans leurs enjeux communs.


6.    Planification de la rencontre du 31 mai
L’invitation a été envoyée aux membres du comité de pilotage et sera envoyée aux membres de chaque table. Lise-Anne nous invite à faire la promotion de la rencontre du 31 mai.
Nous discutons du déroulement de la rencontre de toutes les tables à partir de la proposition d’ordre du jour que nous présente Lise-Anne. Après le mot de bienvenue et de la présentation des objectifs de la journée, on propose de faire une activité « brise glace ». Les participants, déjà réunis par table de concertation, seront invités à faire consensus sur les trois valeurs qu’ils croient essentielles à la concertation à partir d’une liste qui leur sera fournie. Par la suite, chaque table présentera les valeurs retenues et profitera de l’occasion pour se présenter aux autres tables, reparler de leur mission, leur membership, plan d’action et réalisations.
Au point 5 nous présenterons, à partir de la grille de réflexion sur les éléments transversaux, le résultat des échanges faits au comité de pilotage sur les moyens qui peuvent être pris pour agir sur ces éléments. Il y aura échange et priorisation par table suivi d’un retour en plénière.
Le comité de pilotage ou de suivi se chargera de mettre en œuvre les moyens identifiés en lien avec  les éléments transversaux qui auront fait consensus, surtout sur les moyens qui concernent l’ensemble des tables.
Au point 6, on convient de déposer le portrait présentant les lieux de concertations et de prendre quelques minutes afin de recueillir les commentaires, identifier s’il y a  des ajouts à faire et amorcer une discussion sur l’utilisation de cet outil. Le comité de pilotage ou de suivi verra à poursuivre la réflexion à ce niveau.
On convient de ne pas poursuivre à ce moment la réflexion sur la question de l’hyper concertation. On croit que, dans les suites de la démarche actuelle, chaque table aura des éléments de réflexion et de réponse sur cette question. On pourra voir dans l’avenir via le comité de suivi.

7.    Prochaines étapes
Faire une relance auprès des membres de chacune des tables, Lise-Anne envoie les présences confirmées aux responsables des tables. Le compte rendu de la rencontre de ce jour sera acheminé à tous la semaine prochaine afin que le comité de pilotage en prenne connaissance avant la rencontre du 31 mai. Le CR servira de livrable pour le 31 mai.
Une invitation sera envoyée aux médias avec un communiqué de presse présentant le contexte de cette journée, des exemples de bons coups et le portrait des tables. Invitation également au directeur de la santé publique.
On convient que le comité de pilotage se revoit pour une évaluation de la démarche en y invitant les gens qui prendront un rôle dans le comité de suivi.


8.    Évaluation de la rencontre

Satisfaction générale.